En traitement d’eaux usées, le coût de réalisation d’une station FPR est inférieur en général à celui d’une station intensive jusqu’à 2000 EH, de même ordre entre 2000 EH et 5000 EH.
Le coût d’exploitation est généralement deux à trois fois moins élevé pour une qualité en sortie identique, dans la gamme d’application du procédé bien entendu (jusqu’à 6000 EH actuellement, en l’absence d’imposition sévère sur l’azote et le phosphore).
Une station FPR consomme par contre pas mal de terrain, jusqu’à 5 m²/EH au dessus de 2000 EH, davantage en deçà.
A Nègrepelisse, la tranche actuelle à 4000 EH est contenue sur une parcelle de 16 380 m² soit 4.1 m²/EH y compris la circulation le long du ruisseau et et une partie des réserves foncières pour l’extension à 6000 EH.
Les ouvrages proprement dits sont contenus sur moins de 12 000 m² soit 3 m²/EH avec des surfaces confortables de circulation et de stationnement.
La configuration à 6000 EH sera contenue sur un terrain de 24 000 m² soit 4.0 m²/EH y compris la circulation le long du ruisseau et pas mal de délaissés.
En traitement de boues ou de matières de vidange, les coûts de réalisation sont également du même ordre en procédé FPR qu’en procédé intensif et les coûts d’exploitation très inférieurs.
Présentation des coûts de réalisation et d’exploitation de la station d'eaux usées.
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