Les coûts de réalisation sont similaires à ceux d’une station intensive, les coûts d’exploitation divisés par deux (10 €/EH.an au lieu de 20 €/EH.an, y compris évacuation des boues). L’économie en exploitation tient principalement au traitement des boues : un filtre planté produit sur le premier étage (pas de boues sur l’étage 2) des boues sèches (siccité 25 % couramment), légères, assimilables à un compost, qui sont extraites et épandues tous les 10 à 15 ans (tous les jours sur une station boues activées, tous les 5 à 10 ans en lagunage).
 Les teneurs en sortie sont  très inférieures à la norme de rejet (et aux plafonds indicatifs de l’arrêté de  2007). Elles augmenteront légèrement avec les charges en entrée mais on peut  penser que la norme de rejet sera respectée au-delà de 4000 EH dans la  configuration actuelle de la station. Les teneurs NTK et Pt sont inférieures  aux valeurs habituelles des stations FPR de la filière « française »  grâce à l’insertion des lagunes.
          Les teneurs en sortie sont  très inférieures à la norme de rejet (et aux plafonds indicatifs de l’arrêté de  2007). Elles augmenteront légèrement avec les charges en entrée mais on peut  penser que la norme de rejet sera respectée au-delà de 4000 EH dans la  configuration actuelle de la station. Les teneurs NTK et Pt sont inférieures  aux valeurs habituelles des stations FPR de la filière « française »  grâce à l’insertion des lagunes.
      Les rendements sont tous supérieurs aux plafonds  indicatifs de l’arrêté de 2007 et aux recommandations de la MISE.
 La fiabilité de la station est assurée  par la simplicité du procédé (les pannes sont peu probables et rapidement  réparées), le secours mutuel des équipements (plusieurs pompes dans chaque  poste de relevage, plusieurs casiers en parallèle sur chaque filtre, etc.), les  réserves de dimensionnement (chaque équipement fonctionne en deçà de sa  capacité maximale).
La fiabilité de la station est assurée  par la simplicité du procédé (les pannes sont peu probables et rapidement  réparées), le secours mutuel des équipements (plusieurs pompes dans chaque  poste de relevage, plusieurs casiers en parallèle sur chaque filtre, etc.), les  réserves de dimensionnement (chaque équipement fonctionne en deçà de sa  capacité maximale).
        
      En cas de panne d’électricité  (probabilité faible et durée courte sur cette ligne EDF), les eaux brutes sont  dérivées automatiquement vers le lagunage et y sont traitées avant rejet dans le ruisseau.
      L’automate rétablit  le fonctionnement habituel en fin de panne. Entretemps, la batterie de secours  assure les commandes et l’enregistrement des paramètres et la réserve d’air  comprimé maintient la continuité des manœuvres de vannes.
 
  Présentation des coûts de réalisation et d’exploitation de la station d'eaux usées.
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